Bonus : trois hotels qui ont eu l'idée de présenter un écrivai
Florilège de signatures de nos ancêtres
La signature est un témoignage "vivant"
Lorsque l'on voyage au travers des différents pays de nos ancêtres en prenant connaissance des actes d'état civil des communes relatant leurs naissances, mariages et décès, on est pris d'un certain vertige à se sentir comme innervés dans le cadre de leur existence.
Celle-ci apparaît toujours en filigrane et parfois dans sa réalité heureuse ou malheureuse mais avec une grande constance en ce qui concerne les ancêtres de notre famille Bouvant. Ils ont en effet
tous vécu de façon très modeste, pour ne pas dire misérable, et à l'exception de la branche toulonnaise, en milieu rural. Avec son lot de difficultés pour exercer un travail (n'employons pas le mot profession) pénible comme journaliers au service de mieux lotis, soumis aux rigueurs de la nature avec peu de chance de survie.
Un état clair de cet état d'indigence matérielle et de dénuement culturel peut être mis en exergue par la très large absence de leur signature. Mais lorsqu'elle existe se crée avec les descendants, donc nous-mêmes, un lien d'une très grande force. Au bas d'un texte stéréotypé écrit (souvent fort mal d'ailleurs) par le curé de la paroisse, ce ou ces mots écrits avec autant d'application que de maladresse, nous sont transmis comme un message depuis parfois plus de trois siècles par un arrière arrière .... arrière grand parent. Comme l'aurait été une photo, mieux même parce que c'est une part d'eux-mêmes qui s'offre à nous.
Pour tempérer notre satisfaction, il faut préciser que la petite centaine de personnes dont nous pouvons présenter ici le témoignage écrit intime (parfois en plusieurs versions) ne représente cependant qu'une faible partie des quelque huit cents révélés par les registres communaux, dont nous pouvons dire, pour employer l'expression usuelle, que nous possédons quelques gouttes de sang.
Pourquoi si peu de signatures pour nos ancêtres?
Les explications de la modestie de ce nombre sont évidentes et diverses :
- les recueils d'actes ont été demandées par le roi de France à l'Eglise au milieu du 16ème siècle, mais ils ne se généralisèrent qu'après le décret de Villers-Cotteret de 1637. Contrairement à ce que l'on aurait pu craindre, la Révolution de 1789 a laissé en place tous les registres paroissiaux (ou presque) conservés en double exemplaire, dans la commune et dans le département. Le très mauvais état de certains est dû aux outrages du temps et à une mauvaise conservation, mais aussi et surtout au manque de soin des vicaires et curés chargés de les réaliser.
- On ne prend connaissance des naissances, mariages et décès qu'au travers de ces actes qui sont des transcriptions de cérémonies religieuses intitulées baptêmes, bénédictions nuptiales et inhumations. L'officier du culte avait semble-t-il toute liberté d'agir (ou n'avait aucune consigne précise de rédaction). Ce qui ne veut pas dire que l'on trouve, au gré des régions, des expressions toutes faites et fortement ampoulées, voire redondantes, qui étaient répétées pendant la durée du mandat du curé dans la paroisse.
- En ces époques reculées et en ces lieux tout aussi reculés, le curé était souvent la seule personne ayant eu accès à la lecture et l'écriture. Il rédigeait donc comme il pouvait ces actes dont il était le maître d'oeuvre, ne manquant pas de dire que lui seul, curé soussigné avait accordé le sacrement. Pendant près d'un siècle la très grande majorité des actes ne portent ainsi qu'une signature.
- Progressivement, la demande de signer le document par ses protagonistes est mentionnée. Mais presque tous en étaient incapables, ils étaient qualifiés d'illitérés par le curé. La formule traditionnelle étaient "qui nont signé ne sachant de ce requis" ou formules voisines suivant les lieux. La généralisation d'une telle indication après 1700 indique que des consignes avaient été données de faire valider l'acte par ceux qui en sont l'objet. Il est cependant clair que ce n'ait été dans nombre de cas qu'une mention faite par l'officiant pour justifier l'écriture de l'acte établi en séance ou dans la solitude de sa cure. En témoignent des constatations faites pour certains ancêtres qui ont orné un acte de leur signature et qui figurent dans un acte postérieur signé du seul curé, car tous nont signé de ce requis.
- La grande précarité de tous ces ancêtres retrouvés explique leur incapcité à pouvoir écrire leur nom. Celui-ci était indiqué oralement, le curé transcrivait alors phonétiquement (Odet, Oddet, Audet, Auday) voire avec l'accent (Rousse pour Roux, Pebresse pour Pebre). Lorsqu'elle existe c'est ainsi la signature qui, mieux que ce qu'a transcrit le curé, nous donne l'orthographe de l'ancêtre.
- Que ce soit avec ou sans la bienveillance du curé, il est parfaitement logique que compte tenu de la répartition sociale de nos ancêtres, nous ayons dû attendre de nombreuses décennies avant de voir leurs témoignages écrits. Dans de nombreux cas leur patronyme signé avait cependant figuré dans des actes antérieurs lorsque les parrain / marraine ou témoins étaient membres de leur famille, on voit très bien que dans ces cas-là ceux-ci avaient été conviés à participer à la cérémonie pour l'honorer en raison de leur situation sociale plus élevée.
La présence d'une signature est un marqueur de l'évolution sociale
On l'a bien compris, l'apparition pour chacune des branches (qui ont au final fusionné sous le patronyme Bouvant) du premier de leur représentant en mesure d'apposer une signature sur un acte le concernant, est l'indice d'une évolution sociale et culturelle au sein de cette branche. Notons toutefois qu'un certain nombre d'entre elles ne vont pas pouvoir figurer au florilège présenté dans ce récit. Elles ont en effet disparu de notre grand arbre avant que l'un de ses membres ait pu accéder à l'écriture.
Sans avoir l'agilité de Tarzan, nous allons cependant pouvoir parcourir cet arbre en sautant d'une branche à l'autre avec une grande facilité. Au départ de ce parcours se situent Eugène Bouvant et Olinde Serre, qui seront pour nous la "génération 1" ils sont les parents des huit Bouvant nés à Lyon à partir de 1921 (qui sont, pour être logique, la "génération 0").
Ce sont leurs parents Jules Bouvant, Joséphine Robert, Laurent Serre et Augusta Gibelin, donc grands parents des huit (la génération 2) qui vont être au départ des quatre troncs portant leur patronyme respectif. On a pu remonter dans la plupart des cas à la 9ème ou 10ème génération, avec quelques ancêtres de la 11ème génération. Mais nous sommes alors un peu avant 1600, à l'époque d'Henri IV. Nous ne disposons pour ces vénérables ancêtres que d'un nom et pas de date précise. Il faudra attendre plus de cent ans avant de voir apparaître quelques signatures, et encore cent ans pour que cela devienne plus fréquent. Deux remarques :
- C'est en fin de 17ème siècle (peu après 1670) que les premières signatures, très isolées, sont apparues. Une première surprise est qu'elles ont eu lieu en des contrées aussi contrastées géographiquement et socialement, qu'un Beaujolais perdu près du Brionnais ou la vallée de l'arrière pays niçois alors royaume de Sardaigne, en passant par la Bresse, le Centre Var ou la Haute Provence.
- Par la suite, il y a eu on l'a dit une évolution globalement très lente, mais certaines branches ont eu une opportunité ou plus sûrement, ont bénéficié d'un membre qui s'est éduqué seul et en a fait profiter sa descendance. La signature est bien le reflet de l'ascenseur social. Toutefois l'évolution n'est pas irréversible, les descendants d'un ancêtre ayant écrit son nom ne reproduisent pas toujours cet exploit.
La présentation en quatre branches correspondant aux grands parents a l'avantage de parcourir en chacune des territoires et des moeurs peu différents.
- Au nord, les multiples branches devenues Bouvant sont réparties en Bresse Jurassienne et surtout en Bresse Bressane, Mâconnais et Beaujolais. Rapprochements certains entre ces ancêtres vivant pourtant sur des terres agricoles et vinicoles.
- Tout change dans la branche des Robertc'est la Haute Provence du Pays de Manosque et du Haut Var, terres isolées et pauvres.
-
Les deux branches maternelles Serre et Gibelin sont du Var central et méridional, avec des parcours qui se sont entrecroisés dans l'espace des différentes communes traversées. Mais où l'on peut voir que dans des conditions extérieures de vie identiques, les deux branches ont vécu deux différences importantes d'évolutions.
La branche Bouvant
C'est elle qui va recueillir le plus de signatures puisqu'elle est toujours présente seule survivante d'une centaine de branches,avec le plus d'actes récents où tous les participants peuvent signer. Mais c'est elle qui a aussi, sinon les plus anciennes signatures, les plus anciens ancêtres connus, de la 11ème génération.
10ème génération - Au coeur de la Bresse Bressane
A Marsonnas à 20km au nord ouest de Bourg-en-Bresse, le 22 septembre 1677, lors du mariage d'Antoine Nid (24 ans) et de Marie Joly (19 ans) dont le père Désiré est décédé, son oncle François tuteur signe.
(10) ép Nid - (9) ép Morel - (8) ép Blanc - (7) ép Adam - (6) ép Chanel - (5) ép Bernard - (4) ép Bouvant Claude Eugène
9ème génération - A l'est du Beaujolais
Claude Augay est né en 1633 à Vauxrenard (près de Fleurie) marié avec Benoiste Ducroux du village voisin St Christohe la Montagne. Signature du 12 mai 1699, lors du mariage de sa fille Anne à Vauxrenard.
(9) Augay - (8) Augay - (7) ép Granjean - (6) ép Bouvant Guillaume
8ème génération - Au coeur de la Bresse Jurassienne
A Bosjan en limite de Saône-et-Loire, près de Lons-le-Saunier, le 4 août 1721, mariage de Claude Vernay avec Pierrette Merle en même temps que son père Marie veuf de Jerosmine Sergent se remarie avec Pierrette Magnin.
(8) Vernay - (7) ép Bouvant Jean-Marie
8ème génération - En Bresse Bressanne
Cras-sur-Reyssouze est proche de Bourg-en-Bresse, Benoist Adam né dans la commune en 1702 signe en épousant le 18 février 1727 Jeanne Chanel née en 1699 à Bény.
(8) Adam - (7) Adam - (6) ép Chanel - (5) ép Bernard - (4) Bernard - (3) ép Bouvant Claude Eugène
6ème génération - En Bresse Bressanne
Benoist Bernard est né en 1733 à Etrez. Il eut huit enfants avec sa première épouse Antoinette Favier, n'en eut aucun avec la seconde Anne Marie Michel, et enfin 6 avec la troisième Marie Françoise Dubois, dont Denis ancêtre.
(6) Bernard - (5) Bernard - (4) Bernard - (3) ép Bouvant Claude Eugène
Billard
5ème génération - En Bresse Bressanne
Denis Bernard le fils de benoist est né en 1782 à Etrez. Marié avec Marie Chanel en 1804. Ils vinrent s'installer à Cras-sur-Reyssouze, eurent 15 enfants entre 1805 et 1829, dont Antoine Marie (le père de marie).
(5) Bernard - (4) Bernard - (3) ép Bouvant Claude Eugène
Billard
5ème génération - En Bresse Bressanne
Chavannes-sur-Suran est proche de Bourg-en-Bresse, Etienne Billard y arrive en venant de Montrevel en Isère où il est né fils du curé Jean Thévenet de Biol. Signatures en 1803 avec Marie Rose Curey, pour deux enfants en 1804 et 1821 et pour le mariage d'un fils Joseph en 1845.
(5) Billard - (4) ép Bernard - (3) ép Bouvant Claude Eugène
Billard
Billard
Billard
5ème génération - En Bresse Bressanne
Marie Rose Curey descend des Curé du Jura, née le 15 novembre 1782 à Chavannes-sur-Suran, proche de Bourg-en-Bresse, elle s'y marie en 1803 avec Etienne Billard, fils du curé de Biol en Dauphiné. Elle marie son fils Joseph Billard le 4 juin 1845.
(5) ép Billard - (4) ép Bernard - (3) ép Bouvant Claude Eugène
Billard
5ème génération - Dans l'Ain proche de Lyon et Villefranche
A Trévoux, Annet naît en 1772, s'y marie en 1801, a 12 enfants, décède en 1841.
(5) Claudine Manin ép Bouvant Annet

4ème génération - A Trévoux
A Trévoux Jean Bouvant naît en 1802 premier des 12 enfants d'Annet. Il sort du marasme familial en devenant chapelier. Signatures pour son mariage en 1826 avec Cécile Revelu, pour la naissance de Claude Eugène en 1831, et pour le mariage de celui-ci avec Marie Bernard en 1863.
(4) Bouvant Jean
Billard
Billard
4ème génération - à Trévoux
Cécile Revelu à son mariage en 1826 avec Jean Bouvant
4ème génération - En Bresse Bressanne
Marie Julie dite Judith Emilie Billard naît en 1819 à Chavannes-sur-Suran, proche de Bourg-en-Bresse, elle se marie avec Antoine Marie Bernard instituteur qui meurt à 40 ans en 1854, est la mère de Marie Bernard. Elle se remarie la même année avec Antoine Champard (signature). Autre signature au mariage de son fils Joseph en 1863.
(4) ép Bernard - (3) ép Bouvant Claude Eugène
Billard
4ème génération - En Bresse Bressanne
Antoine Marie Bernard naît en 1814 à Cras-sur-Reyssouze, proche de Bourg-en-Bresse, il est instituteur, se marie avec Marie Julie Edith Billard meurt à 40 ans en 1854, est le père de Marie Bernard. Signatures pour la naissance de Marie l'aïeule en 1837, pour une deuxième Marie en 1839, pour le décès de son père à Cras en 1842, la naissance de son fils Antoine la même année, enfin la naissance de Félicie en 1846 (la tante Chavany).
(4) Bernard - (3) ép Bouvant Claude Eugène
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3ème génération - En Bresse Bressanne
Marie Bernard naît en 1837 à Savigneux, entre Bourg-en-Bresse et Trévoux, où son père est instituteur, elle se marie avec Claude-Eugène Bouvant en 1863 alors qu'elle est dame de magasin à Villefranche-sur-Saône. Elle signe son nom de jeune fille mais avec déjà la précision "femme Bouvant", entre son beau-père Jean à gauche, son mari à droite. Mais pour l'autorisation de mariage de son fils Jules chez le notaire en 1886, elle devra se contenter d'apposer les deux paraphes "femme bouvant" imposés par son époux.
(4) Bernard - (3) ép Bouvant Claude Eugène
Bilarddises
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3ème génération - Bresse Bressanne et Dombes
Claude Eugène Bouvant naît en 1831 à Trévoux, où son père est chapelier, après un temps comme veloutier, il devient voiturier, loueur de diligences et monte son reali à Saint-André de Corcy dans la Dombes.Il épouse Marie Bernard en 1863 alors qu'elle est dame de magasin à Villefranche-sur-Saône.
Signatures mariage en 1863, naissances des trois fils Jules en 1864, Jean Antoine en 1866 et Claude Eugène en 1868
(3) Bouvant Claude Eugène
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Signatures pour le décès de son père Jean en 1869, naissance d'Eugénie en 1876, autorisation mariage Jules en 1886
3ème génération - La Dombes puis le Var
Jules François Bouvant naît en 1864 à Trévoux, où son père est voiturier, après un temps comme veloutier, il quitte le milieu familial et le relai de diligences de St André de Corcy à 20 ans pour faire cocher dans le Var, d'abord à Sillans.
Signatures mariage en 1886, naissances d'Antoine en 1887, Marie en 1889, Eugène en 1893, Claire en 1900
(3) Bouvant Claude Eugène
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La branche Robert
9ème génération - Alpes de Haute Provence : Banon
Jean-Louis Pourpe
(9) Pourpe - (8) Pourpe - (7) Pourpe - (6) Pourpe - (5) Pourpe - (4) ép Robert - (3) Robert - (2) ép Bouvant Jules
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8ème génération - Alpes de Haute Provence : Banon
Pierre Pourpe signatures lors de son mariage en 1686, naissance fils en 1687
Son épouse Catherine Gastaud lors de leur mariage
(8) Pourpe - (7) Pourpe - (6) Pourpe - (5) Pourpe - (4) ép Robert - (3) Robert - (2) ép Bouvant Jules
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9ème génération - Dans la Provence du Verdon
Louis Arnaud est né le 20 mars 1595 à Allemagne-en-Provence. Signature pour la naissance de son petit fils Pierre Robert, fils de sa fille Marguerite.
(9) Arnaud - (8) ép Robert - (7) Robert - (6) Robert - (5) Robert - (4) Robert - (3) Robert - (2) ép Bouvant Eugène
8ème génération - Dans le Haut Var
Isabeau Poitevin lors de son mariage le 29 juin 1682 à Ginasservis avec Marc Richaud.
(8) ép Richaud - (7) ép Granjean - (6) ép Bouvant Guillaume
8ème génération - Dans le Haut Var
Anne Burle lors de son mariage le 14 octobre 1680 à La Verdière avec Jacques Bertrand.
(8) ép Bertrand - (7) ép Pourpe - (6) Pourpe - (5) Pourpe - (4) ép Robert - (3) Robert - (2) ép Bouvant Eugène
6ème génération - Haut Var
A Ginasservis Barthélemy Hodoul signe en 1723 et 1738 pour naissance de fille.
(7) Hodoul - (6) Pourpe - (5) Pourpe - (4) ép Robert - (3) Robert - (2) ép Bouvant Eugène
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4ème génération - Haut Var
A Ginasservis Bache Joseph Robert signe pour son mariage (1811) avec Julie Pourpe, comme témoin (1813) puis pour la naissance de ses enfants en 1814, 1816, 1820, 1823, 1828, 1833 et 1837, enfin pour le mariage de son fils Joseph avec Rose Aubert en 1845.
(4) Robert - (3) Robert - (2) ép Bouvant Eugène
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4ème génération - Dans le Haut Var
Julie Pourpe épouse de Blache Robert lors de la naissance d'un enfant.
(4) ép Robert - (3) Robert - (2) ép Bouvant Eugène
2ème génération - la grand-mère du Haut Var
Joséphine Robert signe son acte de mariage en 1886
(2) ép Bouvant Claude Eugène
La branche Serre
3ème génération - à La Garde
Félix Marius à son mariage en 1857 avec Euprosine Lamoudru, naissance en 1858 et 1861
Félix Marius , naissance en 1865 1867 et 1869
Félix Marius naissance de Laurent "pépé" en 1871 et fille en 1873
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Félix Marius au mariage de Laurent avec Augusta Gibelin en 1896 et de Marie Rose en 1897
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3ème génération - à La Garde
Euprosine Lamoudru à son mariage en 1857 avec Félix Marius, au mariage de son fils Laurent avec Augusta Gibelin en 1896
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2ème génération - à La Garde
Laurent Serre à son mariage en 1896, à la naissance de sa fille Olinde en 1897, au mariage d'Augustine "Titine" Gibelein en 1902.
2ème génération - à La Garde
Louis Giovo à son mariage en 1902 avec Augustine Gibelin, et à la naissance de son fils Charles en 1904.
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Les Sardes
9ème génération - à Daluis
François Berton au mariage de sa fille en 1689
a
9ème génération - à Daluis
Antoine Pebre au mariage de sa fille en 1690
a
a
a
Toulon
7ème génération - Toulon
Antoine Consauve signe pour son mariage (1743) avec Marie Gaudemar, puis pour la naissance d'un fils en 1750 et mariage d'une fille en 1775.
7ème génération - Toulon
Laurens Consauve signe pour son mariage (1753) avec Madeleine Charbonnier, puis pour la naissance d'un fils en 1753 et mariage d'une fille en 1775..
7ème génération - à Toulon
Marie Gaudemar à son mariage en 1743 avec Antoine Consauve
7ème génération - à Toulon
Madeleine Charbonnier à son mariage en 1753 avec Laurens Consauve
7ème génération - Cannes
Pierre Berenguier signe pour son mariage (1732) avec Lucrèce Roux, puis pour la naissance d'une fille en 1739.
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6ème génération - à Toulon
Etienne Consauve né en 1736 à Toulon est le fils d'Antoine Consauve venu de la ville d'Agde et de Marie Gaudemard de Toulon. Il s'est mariéle 22 août 779 avec Marie-Paule Consauve, fille deLaurens Consauve et madeleine Charbonnier, de Toulon.La signature d'Etienne est apposée sur l'acte de naissance de leur fille Marie-Magdeleine en date du 16 décembre 1782.
5ème génération - à Toulon
Antoine Boyer à son mariage en 1800 avec Madeleine Consauve
5ème génération - à Toulon
Madeleine Consauve à son mariage en 1800 avec Antoine Boyer
5ème génération - à Toulon
Jean-François Lamoudru père à la naissance de son fils Jean-François en 1799
4ème génération - Toulon
Jean-François Lamoudru (père d'euphrosine) se marie à Toulon en 1824 avec Magdeleine Ordy, à la naissance de sa fille Euphrosine en 1838 à La Garde, à la naissance d'un petit fils en 1858
Les alliés Gibelin au Centre Var
9ème génération - au Cannet
Le 16 février 1711 Joseph Rimbaud signe Raibau au mariage groupé de ses filles Elizabeth et Geneviève
8ème génération - en presqu'île de Saint-Tropez
Pierre Joseph Truc est chirurgien à Gassin près de Saint-Tropez. Il a pour épouse Véronique Augier. Leur fille Cécile viendra à Pignans se fondre dans les Vacon, lignée de "maréchal à forge" branche maternelle de Sabine Olinde Raynaud. Cinq signatures pour naissances des enfants en 1694, 1696, 1698, 1703, et 1706.
(8) Truc - (7) Vacon - (6) Vacon - (5) ép Raynaud - (4) Raynaud - (3) ép Gibelin - (2) ép Serre
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8ème génération - en centre Var
Pierre Raynaud signe lors du mariage de son fils Barthélemy avec Elizabeth Bouisson à Cuers le 19 janvier 1739
(8) Raynaud - (7) Raynaud - (6) Raynaud - (5) Raynaud - (4) Raynaud - (3) ép Gibelin - (2) ép Serre
8ème génération - en centre Var
Au Cannet des Maures Jean-Joseph Ourse signe lors du mariage de son fils Bernard avec Marie Anne Pic le 21 février 1746
(8) Ourse - (7) Ourse - (6) ép Tambon - (5) Tambon - (4) ép Gibelin - (3) Gibelin - (2) ép Serre
8ème génération - en centre Var
Pierre Gueyt signe à son mariage le 14 septembre 1710 à Rocbaron avec Madeleine Gueyt
(8) Gueyt - (7) Gueyt - (6) ép Vacon - (5) ép Raynaud - (4) Raynaud - (3) ép Gibelin - (2) ép Serre
8ème génération - en centre Var
Joseph Blanc qui est du Cannet des Maures signe lors de son mariage au Luc avec Magdeleine Infernet le 11 janvier 1711 et aussi le 31 janvier 1748 pour le mariage de sa fille Marguerite avec François Aune .
(8) Blanc - (7) Aune - (6) Aune - (5) ép Tambon - (4) ép Gibelin - (3) Gibelin - (2) ép Serre
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8ème génération - en centre Var
Joseph Aune du Cannet des Maures signe lors du mariage de son fils François avec Marguerite Blanc le 31 janvier 1748
(8) Aune - (7) Aune - (6) Aune - (5) ép Tambon - (4) ép Gibelin - (3) Gibelin - (2) ép Serre
8ème génération - en centre Var
Jacques Audrac s'est marié en 1700 avec Claire Nielly, au Cannet des Maures. Il signe lors de la naissance de sa fille Thérèse en 1708. Puis lors du mariage de celle-ci avec Antoine Camail le 28 janvier 1737 au Cannet. Et aussi lors de la naissance de sa petite fille Rossoline Camail, future épouse d'André Gibelin, le 9 octobre 1746.
(8) Audrac - (7) Camail - (6) ép Gibelin - (5) Gibelin - (4) Gibelin - (3) Gibelin - (2) ép Serre
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6ème génération - en centre Var
Raymond Vacon qui est né en 1736 à Pignans, épouse le 1 octobre 1771 Magdeleine Gueyt à Puget-Ville où il est maréchal de forge. Signatures lors de naissance d'un fils en 1776 puis d'une fille en 1782; comme témoin, en 1804, enfin en 1806 pour la naissance de son petit fils.
(6) Vacon - (5) ép Raynaud - (4) Raynaud - (3) ép Gibelin - (2) ép Serre
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6ème génération - en centre Var
Joseph Rimbaud né en 1723 au Cannet des Maures, s'est marié en secondes nocs à Cabasse avec Anne Marie Catalan en 1780. Il signe lors d la naissance de son fils en 1782, au Luc.
(6) Rimbaud - (5) ép Gibelin - (4) Gibelin - (3) Gibelin - (2) ép Serre
6ème génération - en centre Var
Barthélemy Raynaud est né à Cuers en 1740. Il signe pour son mariage le 3 janvier 1767 à Solliès-Pont avec Christine Sénès native de cette commune puis pour la naissance dune fille en 1776.
(6) Vacon - (5) ép Raynaud - (4) Raynaud - (3) ép Gibelin - (2) ép Serre
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5ème génération - Immigration italienne
Joseph Fioroly est né à Milan en 1777, il s'est installé comme maçon à Carnoules en se francisant en Joseph Fioroly. Cinq signatures des enfants avec cécile Broquier (non mariés) en 1815, 1817, 1820, 1822 et 1830.
(6) Vacon - (5) ép Raynaud - (4) Raynaud - (3) ép Gibelin - (2) ép Serre
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4ème génération - suite Immigration italienne
Marie-Louise Fioroly épouse Sidoine ferdinad désiré Martin Raynaud, maréchal ferrand charretier à Puget Ville, le 23 mai 1837 à Carnoules. Sabine Olinde naît en 1855, l'époux meurt en 1863, elle se remarie en 1864 (signature). elle signe aussi lors du mariage de Sabine avec Rolin Justin Gibelin en 1874.
(6) Vacon - (5) ép Raynaud - (4) Raynaud - (3) ép Gibelin - (2) ép Serre
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Les signatures des Gibelin au Cannet des Maures
6ème génération - L'histoire emblématique d'André Gibelin
André est né à Cotignac, d'une famille d'agriculteurs, il vient au Cannet des Maures vers 1770 pour entrer au service de la famille du seigneur du lieu, le marquis de Colbert, aoù travaille Rossoline Camail qu'il épouse en 1773. Il apprend à lire, devient négociant, et peut signer à partir de la naissance du cinquième enfant en 1782.
André 1ère signature 1782 naissance Eleonore Marie, témoin en 1788, 1794
André maire : au mariage de son fils Etienne; à la naissance de sa petite fille
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Louis en 1788, témoin en 1811, maire en 1836
Les fils d'André
5ème génération - Gabriel
mariage de : fille en 1834, delphine en 1838, fille en 1845, fils en 1845
Pas de signature à la 4ème génération (Alexandre 1811-1885)
3ème génération - Rolin Justin
Deux signatures son mariage en 1874, la naissance d'Augusta en 1875
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3ème génération - Charles frère de Rolin Justin
Son mariage en 1878 avec Sabine Olinde veuve de son frère Rolin, le mariage de sa fille Augustine en 1902, son remariage la même année, la naissance d'Augusta en 1875
2me génération - Grands parents
Antoine, frère de Jules - Augusta grand mère - Augustine soeur d'Augusta
1ère génération - les parents
Eugène Bouvant pas encore fiançé, cartes postales lors d'escales à Corfou, Livourne, Spezia et Tarento
Eugène Bouvant en 1922 pour prêt Chavany, le 6 mai 1964 pour renouvellement carte identité
tante Marie soeur d'Eugène
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Olinde en 1909 pour le certificat d'Etudes Primaires. En 1914 pour le Brevet d'Enseignement.
Génération "0" - Frères et soeurs Bouvant
Hervé,